Ebook gratuit Homo juridicus. Essai sur la fonction anthropologi, by Alain Supiot
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Détails sur le produit
Broché: 336 pages
Editeur : Points (3 septembre 2009)
Collection : Points essais
Langue : Français
ISBN-10: 2757815202
ISBN-13: 978-2757815205
Dimensions du produit:
10,7 x 1,5 x 18 cm
Moyenne des commentaires client :
4.0 étoiles sur 5
9 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
56.477 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Je n'ai pas encore fini de lire ce livre, toutefois je tiens à préciser qu'il n'est pas facile d'accès. Les raisonnements de l'auteur sont souvent longs et complexes. Ce n'est pas un livre que vous pourrez dévorer en une soirée. On y trouve toutefois des choses intéressantes.
Excellent ouvrage de philosophie du Droit, qui dépasse les questions purement juridiques et techniques pour aborder les fondements de l'espèce humaine.Un grand livre
recherches personnelles
Il a le mérite d'analyse de manière très large la question de la fonction anthropologique du droit tout en se gardant, et c'est appréciable, de se rattacher constamment au droit romain. De nombreuses approches en droit chinois et japonais sont faites, ce qui n'est pas pour me déplaire.Toutefois, et un commentateur l'a relevé à juste titre selon moi, il convainc moins que son analyse, mythique s'il en est, du droit du travail, d'autant que de nombreuses références à cet ouvrage-ci sont faites. Quelques répétitions par ailleurs mais rien de déroutant.L'ouvrage reste néanmoins d'une qualité incontestable et, surtout, à bas prix ce qui ne peut qu'attirer les juristes, et étudiants en droit, à se tourner vers des lectures autres que les manuels recommandés par leurs professeurs. Ce genre de lecture fait, en réalité, la différence entre un juriste et un juriste cultivé.
Un régal d'intelligence, je conseille cet ouvrage très abordable pour le profane, précieux pour l'expert. Une analyse critique très fine du rôle du droit dans la société
J'aie dû acheter ce livre pour mon cours de philosophie au droit.Déjà je trouve que ce cours est une perte de temps et inutiles. Il ne sert qu'à faire évaluer des ECTS pour le Bachelor.Beaucoup trop long, compliquer à lire, ambiguë et ennuyant. Une fois l'analyse faite, quelques point sont intéressants et évidemment compréhensible mais 300 et quelques pages pour ça ... -'-Ce livre ne peut que plaire à des juristes passionnées de long discours sur la philosophie du droit etc.Bonne livraison
Malgré mon admiration pour l'auteur de ce livre (en partant de son "Que sais-Je?" de 2004 et de sa "Critique" de 1994 sur le droit du travail, j'ai développé un grand intérêt pour les institutions qui régissent la/les relation/s de l'emlpoi), je dois avouer que ce livre m'a déçu. La raison est simple: l'auteur est un juriste qui chasse sur les terres inconnues de la sociologie (e.g. Powell & Di Maggio) et de l'économie des institutions (e.g. North, ou Dixit).Je lui donne quand-même trois étoiles, car:(1) il traite d'un sujet important, à savoir la fonction du droit dans des sociétés qui se croient dépourvues de toute mythologie;(2) il est le fruit d'une réflexion personnelle assez approfondie, menée par un des grands spécialistes internationaux du droit du travail; et(3) il est assez bien écrit, puisque chaque page conduit à vouloir lire la suivante, puis la suivante, et que, en fin de compte, on se rappelle bien des principales thèses développées tout au long de l'ouvrage.Néanmoins, ces trois points cachent aussi trois faiblesses:(1') ce sujet ne devrait peut-être pas être traité par un juriste, mais pas un sociologue ou un historien, c-à -d par une personne qui sache manier les outils statistiques et documentaires qui permettent d'arriver à des descriptions et des arguments de causalité plus rigoureux;(2') la réflexion personnelle devrait peut-être être accompagnée de ce que les anglo-saxons appellent une "literature review", qui ferait ressortir les thèses principales qui ont déjà été proposées à propos de ce sujet ces 50 dernières années, et à partir desquelles on pourrait définir deux ou trois hypothèses par rapport au rôle du droit dans la société; et(3') la force de l'écriture semble affecter la justesse ou la rigueur de cerains propos, puisque l'auteur semble souligner certains aspects de son argumentation en oubliant d'apporter les nuances qu'on pourrait espérer. d'ailleurs, l'argumentation par référence à l'étymologie des mots ou aux échecs d'aventures historiques particulières semble appartenir à une autre époque...La thèse de HOMO JURIDICUS est en fait assez simple: le droit, et les valeurs fondamentales qu'il incarne, est LE fondement des sociétés occidentales. Certes, on peut arriver à une descritpion plus nuancée de cette thèse. De plus, on peut se demander s'il s'agit là d'un argument positif (c-à -d empirique) ou normatif (c-à -d idéologique). Mais l'idée centrale est bien celle-là .Afin de soutenir cette thèse, l'auteur se lance dans des débats qui me semblent assez arrière-gardistes. Parmi ces débats, le principal est celui qui oppose les constructivistes (en gros, les partisans de l'idée que les agents individuels sont des êtres "sociaux", formés par la société dans laquelle ils existent, dont ils adoptent les valeurs et donc les préférences) et les rationnalistes (en gros, les partisans de l'idée que les agents individuels sont des êtres "privés" qui non seulement agissent, mais aussi réagissent, dans la société, dans un jeu qui implique l'activation de préférences non seulement collectives, mais aussi individuelles). L'auteur n'hésite pas à se ranger parmi les constructivistes et à prononcer de grands jugements contre les rationnalistes.Mon point de vue est que, ce genre de débats ne pouvant être résolus à un niveau supérieur de celui de l'exemple ou de l'étude statistique (car s'il est vrai que nous sommes socialement constitués dans certains cas, et notamment dans des situations de masse et de faibles enjeux individuels, il est aussi vrai que nous sommes rationnels dans d'autres cas, et notamment dans des situations hautement stratégiques), ils doivent être introduits par des philosophes ou des sociologies, plutôt que par des juristes. Car la certitude avec laquelle les juristes affrontent les débats des sciences sociales ne sert pas leur cause, surtout quand celle-ci est d'influencer les économistes, sociologues, et autres politistes. De même, ces débats doivent être maniés avec plus d'attention à la logique de l'argumentation. Par exemple, constrairement à ce qui est avancé dans ce livre, si le positivisme fut associé au nazisme, et si le nazisme connut l'échec qu'on connait, cela ne veut absolument rien dire sur la valeur du positivisme lui-même. De même, si la Cour de Cassation organise des conférences sur le "Law and Economics", cela ne veut pas dire qu'elle ne remplit pas son rôle de juge, ni qu'il est préférable qu'elle prononce ses jugements en partant de doctrines que personne ne connait ou ne peut prévoir... Enfin, le bien-fondé des divers arguments de causalité, qui abondent dans le texte, doit être revu à la lumière des sciences sociales, qui sont en géneral en avance sur les droit dans ce domaine.La thèse de Supiot est fondée sur plusieurs mini-thèses qui ne semblent pas très bien argumentées et qui ne se suivent pas logiquement les unes aux autres. D'où les deux principaux problèmes de fond avec cette thèse : si le droit est le fondement de nos sociétés occidentales,(a) pourquoi change-t-il au fil des ans? Autrement-dit, pourquoi certains agents, tels les différents lobbies, se croient-ils capables de faire changer d'avis au législateur? Pourquoi les corps sociaux les plus imbibés du droit en vigueur, telle la Cour de Cassation, se proposent-ils d'étudier d'autrea façons - notamment des façons étrangères - de penser le droit?(b) pourquoi n'est-il pas plus cohérent? Par exemple, pourquoi le droit de la propriété intellectuelle est-il tellement contraire aux grands principes du droit de la concurrence?
L'ouvrage de Alain Supiot est un remarquable ouvrage que tout étudiant en droit et plus généralement tout juriste devrait lire. Mais au-delà des juristes, cet ouvrage devrait intéresser tout citoyen qui s'interroge sur la place du droit dans la société. Replacer le droit à sa juste dimension, c'est à dire à la dimension de l'homme et ne plus en faire une pure abstraction, sortir d'une perception purement économique du droit, en rappeler la fonction et ne pas l'envisager comme une fin en soi, telle est l'ambition de A Supiot et sa démonstration est réussie. A lire et relire donc.mots clefs, droit - anthropologie- humanisme De la société comme texte
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